Un pompier : « Maintenant, nous craignons pour nos vies »

La réaction d’un pompier de la caserne de Vion, suite à l’attaque en règle qu’ils ont subie dans les cités de Toulouse.

En quoi ce caillassage se distingue-t-il des autres ?

Mardi soir, nos agresseurs se sont postés pour la première fois à quelques mètres des camions qu’ils ont criblés de galets gros comme des poings et de boules de pétanque. Quelque chose de grave est en train de se produire.

Comment a réagi l’équipe d’intervention agressée à La Reynerie ?

Certains d’entre nous ont craint pour leur vie. C’est comme si nous avions été de la chair à canon livrée, impuissante, à la haine des caillasseurs. ->