Pour le PS valaisan, les mères de familles sont des branleuses…

La coprésidente de Solidarité Femmes poussée vers la sortie après ses insultes envers les Valaisannes ; et c’est la moindre des choses !

Sarah Constantin, députée socialiste, enseignante (ô surprise…) et, accessoirement, à la tête d’une énième officine de captation de subventions à seule fin de chapitrer le tout-venant sur le renouveau féministe, s’est faite chopée à contre-sens après avoir déversé ses amertumes biliaires à l’encontre d’une femme, Marianne Maret, élue contre un homme, Mathias Reynard.

Le crime de Marianne Maret, l’outrecuidance de ne pas être à gauche, ou du moins pas assez (elle est au PDC…). Le vote féminin appartient à la gauche, c’est se constituer traîtresse de classe que de ne pas l’admettre. Comme pour le vote étranger, on monte une détresse en neige, puis on se l’approprie, c’est systématique. Baladez-vous dans les cantoches du PS, vous l’entendrez assez souvent, « celle-là, ce n’est pas une « vraie » femme » ; entendre une camarade dans le féminisme.

Mais elle a fait pire, elle a avoué, sur le ton de l’humour, avoir, le matin même de l’élection, fait le… ménage ; horreur indicible. « Ce matin, j’ai fait ce que toute femme au foyer fait quand elle s’embête. J’ai rendu la maison impeccable .» Stupeurs et tremblements au PS, une femme qui assume sa participation aux tâches ménagères ; crime de lèse-féminité. Pour dame Constantin, qui porte visiblement sa frustration sur son visage, c’en est trop, elle réplique avec la vulgarité coutumière de sa caste : « Comme toute femme au foyer qui s’embête, je me masturbe. »

Ce qui fait peur à la dégénération gauchiste, c’est le spectacle, le témoignage d’une femme, épouse et mère, qui s’assume aussi, et avec le sourire, dans sa vocation de femme au foyer. Une disposition d’esprit heureuse, qui donne de la grandeur et de la noblesse à tout ce qui a trait au sacrifice de la tendresse et de l’amour. Une chose que la rébellion socialiste ne peut entendre ni supporter. Tout ce qui n’est pas sacrifié sur l’autel de l’exaltation de l’ego est forcément dégradant. Une femme qui décide de donner un peu de son temps libre au service de ceux qu’elle aime, c’est une humiliation à laquelle la gauche ne peut qu’opposer la satisfaction de l’onanisme, et ce n’est pas un hasard. L’amour se donne et construit, le socialisme se sert et détruit.

NM