La RTS s’affole, la propagande LGBT – le T allant évidemment pour taliban –, s’empare de l’espace scolaire, les étudiants résistent, le corps professoral se dit démuni.
Le lobby avait pourtant prévenu qu’il se réserverait désormais le gibier scolaire. C’était sans compter la courageuse résistance d’élèves qui, devant la démission de ceux censés les instruire, organisent la résistance.
L’objet du litige, les couleurs de la dictature homosexualiste sur les agendas imposés à tous les étudiants du système scolaire vaudois. L’aveu de la totale impuissance de l’Etat à conserver un semblant de neutralité dans une société qui, principalement par voie d’immigration, n’évolue pas en faveur de ces thématiques prétendument « progressistes ».
La coalition médiatico-politique hurle bien évidemment à l’homophôbie et pense organiser une énième séance de vaccination idéologique, voire des camps de rééducation pour les plus réticents.
Un morceau d’anthologie où le monde d’hier semble découvrir, éberlué, que celui de demain s’apprête à le vomir sans ménagement.
En attendant, le terrain a été abandonné par les autorités, le Conseil d’Etat aurait fui en exil pendant que les évacuations se poursuivent à l’aéroport de la Blécherette.
Adieu ma liberté !
NM