Vaud : propagande homosexuelle d’Etat auprès des enfants, l’aveu

Dans un article oiseux, une journaliste du Temps, répondant au doux nom Marion Police, ça ne s’invente pas, joue à se faire peur : « Et si l’amendement hongrois sur l’homosexualité s’appliquait en Suisse ? »
Soit, vous l’aurez compris, la dose quotidienne de pleurnicherie victimaire augmentée d’une critique médiocre du conservatisme, mais l’on y apprend tout de même deux ou trois choses.

L’on y lit, de la bouche même de Lydie Rochat, commissaire de la section vaudoise de PROFA (officine locale du Planning familial international, fondé, on vous le rappelle, par l’éminente eugéniste raciste et un tantinet pro-nazie Margaret Sanger, et en charge des programmes d’avortements forcés en Chine pendant la grande période de la politique de l’enfant unique), à qui le canton a eu la bonne idée de confier tout le secteur de l’éducation sexuelle, qu’elle reconnaît volontiers bourrer nos chères têtes blondes du salmigondis des référents nouveaux :

Qui dit école dit aussi livres. Des efforts sont en cours pour que les ouvrages Jeunesse dits « inclusifs » qui donnent à voir des familles aux compositions variées, à l’image de la société – soient diffusés: familles monoparentales, deux mamans, deux papas.

L’horrible loi hongroise, ô drame, ne permettrait pas cela.

Le fameux amendement marquerait un retour à la case départ où les élèves ne verraient rien d’autre que le triptyque : une maman, un papa, des enfants.

Parce qu’évidemment, pour Mme Rochat, une famille ne peut pas – ne doit pas – ressembler à cela.

Pire encore, l’oukase Orbanesque interdirait l’érotisation de la communication adressée aux enfants. Quel scandale !

A la télévision, certaines campagnes ne seraient pas visibles avant l’heure fatidique de 22h.

Et pour cause, puisque, pour Mme Rochat, l’exemple à suivre est celui des campagnes « Love life« . Si, souvenez-vous, les deux astronautes avec des sourires niais de stewards suisses-allemands qui s’enculent sur la lune (avec des drapeaux sudistes au bras droit), c’est ça le modèle de com pour la jeunesse !

Campagnes qui, pour leur responsable, Caroline Jacot-Descombes, directrice adjointe de Santé Sexuelle Suisse, ont pour objectif de s’intéresser à tout ce « qui n’est pas uniquement hétérosexuel, blanc et mâle« , soit d’inonder des enfants mineurs, aux heures de cours, à grand renfort de fonds publics, d’une propagande hétérophobe, raciste et sexiste, en un mot discriminatoire. Faudra-t-il s’étonner, quand tout cela éclatera, que les écoles publiques soient devenues les incubateurs de la haine et de la détestation d’autrui ?

Le but de la loi hongroise, outre la neutralité de l’enseignement, est de siffler la fin de la récré, rendre l’enfance à une certaine innocence, sa copie à l’Etat et leur responsabilité aux parents. Il ne revient pas aux gouvernements d’enseigner ce qu’est l’amour et la nécessaire question de la santé sexuelle n’est pas le lieu des dérives idéologiques.

Il était temps que quelqu’un signale que l’heure est venue de foutre la paix aux enfants.

NM

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