Les archives homosexuelles de la mairie de Paris

Pour satisfaire à une promesse de campagne aux communautaristes gay, le maire de Paris s’est embourbé dans un projet foireux de centre d’archives homosexuelles.

La décision qui a présidé à la création du Centre d’Archives et de Documentations Homosexuelles de Paris (CADHP) est la concrétisation d’une promesse de campagne faite par Bertrand Delanoë — avant les élections — aux associations de la Lesbian and Gay Pride.

Après la victoire de Delanoë, les associations viennent réclamer leur dû et le projet, voté en 2002 par le Conseil de Paris, se voit attribuer une première subvention de 100.000 euros.

Lisez impérativement la suite de cette époustouflante enquête du Perroquet Libéré. Tout y est : subventions englouties, pédophiles en goguette, emplois fictifs, lesbiennes en furies, dessous-de-tables… Vous saurez un peu mieux à quoi sert l’argent des parisiens dans le petit royaume Delanoësque ->

3 réponses à Les archives homosexuelles de la mairie de Paris

  1. Bob dit :

    100.000 euros pour les XXX, et vas-y.

    Bientôt 1000000 d’euros pour la promotion de la pédophilie.

  2. David dit :

    Si au moins regarderai le fric qui est balancer chaque année pour les églises…. Et c’est pas le vatican qui paye la note.

    [MOD: L’Etat français n’avait qu’à pas les voler… S’il les rendait aujourd’hui elles ne lui coûteront plus un sou.. et toc. Quant à ces histoire d’archives homosexuelles, je serais même près à payer de ma poche pour que le projet aboutisse. Il est indispensable de faire la collection de tous ces textes des premières revues homosexuelles des années 70 réclamant à corps et à cris le droit de libérer sexuellement les enfants et de les soustraire à la tutelle parentale ( sur cette obsession de la chair fraîche, voir http://www.bafweb.com/2006/02/22/homosexualite-pedophilie-un-amalgame/ et http://www.bafweb.com/2005/11/25/qui-a-vraiment-besoin-de-liberation/ et  http://www.bafweb.com/2006/01/18/gauche-limmonde-relativisme-ou-quand-la-protection-de-lenfance-etait-fasciste/). De telles archives sont indispensables à la compréhension du phénomène de la prétendue Libération sexuelle des années 60-80 et à l’édification des générations futures.

    J’ai plusieurs fois été en contact avec les bénévoles qui tenaient les premières archives LGTB à Paris, mais ils étaient mal outillés et beaucoup de documents leur manquaient, et à la BNF, qui n’a que quelques exemplaires des revues les plus connues, cela prend des mois. Donc oui, subvention, séquençage, classage, cotage et tout le toutim !]

  3. Nabulione dit :

    Proposition d’archivage des propos de l’oncle libidineux de mon voisin Dugenoeud:

    « Là où y’a dla gêne, y’a pas de plaisir ! »

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