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22.06 USA: Interdiction de l'objection de conscience, pilule dure à avaler pour les pharmaciens pro-vie

L'American Medical Association (AMA) soutient une proposition tendant à forcer les pharmaciens à distribuer des abortifs comme la pilule (mais oui c'en est un aussi) ou la pilule du lendemain. Salauds d'objecteurs de conscience va!

Une résolution est passée lundi à l'assemblée des délégués de l'AMA, qui déclare que les pharmaciens s'opposant à la vente de drogues abortives pour des raisons morales devront fournir "une référence immédiate à une autre pharmacie appropriée sans commettre d'interférences", a rapporté le Chicago Tribune.

"Notre position est prise au nom du patient," a déclaré le Dr. Peter Carmel, membre du conseil de l'AMA.  "L'AMA veut que les patients puissent avoir accès à leurs médicaments (sic). C'est une obligation du pharmacien de leur dire où aller".

Le site web des Pharmacists for Life International (PFLI)  donne son point de vue quant à la pilule du lendemain: "Il est à la portée de n'importe quelle personne un tant soit peu instruite des choses de la médecine, de comprendre que ce 'médicament' sert principalement à interdire l'implantation d'un oeuf déjà fertilisé.  Ce n'est pas de la contraception".  "Un pharmacien, en vertu de sa conscience propre,  ne peut être obligé de coopérer à une telle chose, avec les conséquences que l'on sait, soit avortement chimique et, par conséquent, la mort d'un bébé." souligne le rapport des PFLI.   
"La coopération matérielle avec un tel mal ne peut jamais être licite même si elle peut être légale... En fait, les pharmaciens avertis de la nature mauvaise d'un tel scénario auraient même le devoir, en tant qu'un pharmacien et que personne humaine, de ne pas coopérer à une telle chose même sous la douleur ou la menace de sérieuses contrariétés".

Les PFLI s'insurge surtout contre certains auteurs leur reconnaissant le droit  à l'exercice de leur propre conscience (merci, c'est trop), mais préconisant la contrainte d'en référer à une autre pharmacie moins scrupuleuse: "Une telle pensée montre l'absurdité et la confusion qui règnent dans les esprits de ceux qui adhèrent à de telles idées." 

"Les pharmaciens ne sont l'objet d'aucune obligation, même inscrite dans la loi positive, de violer la loi divine", conclut le rapport des PFLI . "ceci inclut le fait de ne pas être contraint par aucun mandat de dispenser ou de conseiller la contraception, l'avortement, l'euthanasie et le suicide assisté". conclut le rapport des PFLI.

On voit d'ici la première démocratie du monde placer un agent derrière chaque blouse blanche pour veiller à ce que ceux-ci n'oublie pas de vendre de la drogue et des poisons violents. La liberté, mais de force...
Lifesitenews

20.06 Strasbourg: Une polonaise saisit la cour européenne des droits de l'homme pour ne pas avoir pu avorter

Une jeune femme polonaise s'est plainte à la cour européenne des droits de l'homme que sa santé avait été mise en péril en raison d'une grossesse. En 2002, Alicja Tysiac, 34 ans, mère de deux enfants, était enceinte de son troisième enfant. Les médecins ne l'auraient pas avertie d'une probabilité de perte la vue en cas de nouvelle grossesse.  En Pologne, l'avortement est légal si la grossesse représente un risque pour la santé de la mère.

Mme Tysiac accuse son gynécologue de lui avoir caché que sa santé était en danger.  Selon l'agence polonaise oska.org, Tysiac, bien que n'ayant pas été frappée de cécité, a souffert d'une détérioration de la vue en raison de son état.  Elle ne peut s'offrir les lentilles adaptées et a été classée dans le "premier groupe d'incapacité", se trouvant, par conséquent, dans l'impossibilité de subvenir aux besoin de sa famille.

La cour rendra son verdict à la fin de l'année.  L'ONG autoproclamée Interights s'est précipitée sur le cas: "Nous avons choisi ce cas parce que nous pensons qu'il démontre un certain nombre de violations de la convention européenne", à déclaré son porte-parole, Andrea Coomer, sur radio.com.pl.

Tysiac se plaint que la Pologne a violé son droit au respect de la vie privée et familiale (art. 8 de la convention européenne des droits de l'homme), son droit à un recours effectif (art. 13 ) ainsi que l'interdiction de discrimination (art. 14 ). 

Jasec Volasevic, du service juridique pour le ministère polonais de la Justice a indiqué qu'il y a trois issues en jeu - légale, politique et morale.  Volasevic a souligné que la "violation du droit à la vie" de l'enfant ne serait pas évoquée lors des discussions d'ordre juridique de la cour européenne - seules les conséquences au point de vue légal seront prises en compte, sans aucune considération pour la question morale. 

En octobre dernier, le Comité des droits de l'homme de l'Onu, à la conclusion d'un examen de conformité de la Pologne à l'engagement international quant aux droits civils et politiques,  a exigé que celle-ci "libéralise" ses lois en matière d'avortement.

17.06 USA: Rapport d'autopsie, Terri Schiavo était consciente de ce qu'on lui faisait

Défiant les assertions de nombreux analystes et de l'ensemble des médias, un avocat spécialisé dans les cas d'éthique médicale précise que le rapport d'autopsie indique que Terri Schiavo pourrait avoir été consciente de ce qui était en train de lui être fait. 
Jerri Lynn Ward, d'Austin au Texas, note que le rapport publié mercredi précise que "les lobes temporal et frontal ainsi que le cortex insulaire démontraient une préservation relative... Ce qui nous indique que son cortex a rempli ses fonctions et que son cerveau était normal en ce qui concerne le secteur de contrôle de la pensée" a publié Ward sur son blog.
WND

Interview de Ward dans le "Joseph Farah's WorldNetDaily RadioActive show"
17.06 Belgique: L'Ordre des médecins refuse les «kits euthanasie»

--> Pour un nombre croissant de Belges, la vie n'est qu'une gueuze

En Belgique, les «kits euthanasie», regroupant produits létaux et matériel d'injection sont disponibles pour les médecins généralistes depuis la mi-avril dans les 240 pharmacies du réseau Multipharma. Dans un courrier adressé à la direction générale des médicaments du Service public fédéral (SPF) Santé publique, le Conseil national de l'Ordre des médecins marque ses nettes réticences déontologiques face à la commercialisation de produits et matériel euthanasiants sous forme de kit.

Fondation Guilé
La Libre Belgique du 14.06
cliquer16.06 USA: Publication  du rapport d'autopsie de Terri Schiavo. Le calvaire d'un "légume", inanition et déshydratation

--> So long Terri, we'll never forget!

Conférence de presse hier en Floride: Le médecin légiste a rendu publique les résultats de l'autopsie effectuée sur Terri Schiavo, après son décès, le 31 mars dernier, sur odre des plus hautes instances judiciaires de l'état.

Les résultats de l'autopsie ont apporté beaucoup de questions sans réponse autour de ce cas très controversé, particulièrement en ce qui concerne la cause, inconnue, de son coma initial de 1990.  Les parents de Terri ont souvent avancé, tout au long de leur lutte de plus d'une décennie pour protéger leur fille contre les procédures juridiques de son époux, que leur fille avait été maltraitée au moment de son évanouissement, et qu'une asphyxie par strangulation aurait pu être la cause immédiate de son collapsus.  Ces soupçons ont gagné en crédibilité lorsque le mari, Michael Schiavo, a refusé l'autopsie et déclaré son intention de faire incinérer le corps de sa femme. 

Parmi les "motivations" qui ont poussé Michael Schiavo à "libérer" sa femme, un montant d'assurance d'un million de dollars. Schiavo s'était vite consolé de la maladie de son épouse et fait deux enfants avec une autre femme. Finalement, l'autopsie fut approuvée, on apprit par la suite que le mari n'avait pas eu voix au chapitre dans la décision.

La couverture médiatique des résultats du rapport d'autopsie du Dr. Jon Thogmartin porte presque exclusivement sur ces deux affirmations: 
1) Aucune trace évidente d'abus n'a pu être découverte sur le corps de Terri.
2) Le cerveau de Terri était "sévèrement atrophié", et pesait approximativement la moitié du poids qui aurait dû être le sien à l'heure de sa mort. 

Beaucoup, dont le légiste, en viennent à conclure à l'évidence de "l'état végétatif permanent" de la patiente, diagnostic souvent rabâché par la presse pour mettre en doute l'humanité de Terri. Les défenseurs de Terri parlaient, quant à eux, de "handicap cognitif". 

De nombreux neurologues avait prévu l'impossibilité de déterminer un diagnostic sûr d'EVP en se basant sur les seuls résultats de l'autopsie.  Dans un article du 31 mars, du MedPage Today, le Dr. Michael De Georgia, chef du service de réanimation de neurologie/neurochirurgie de la Cleveland Clinic Foundation, a prévenu ses lecteurs contre un diagnostic d'EVP, affirmant qu'il "ne peut pas être confirmé par autopsie". Le Dr. Mouhammed Kabbani, neurologue à l'université du Missouri, a déclaré en outre: "Une autopsie peut montrer le degré de lésions au cerveau et combien de tissus du cerveau ont survécu", mais cela "ne peut, en aucun cas, indiquer le statut clinique du patient".

Le père Franck Pavone, qui a accompagné Terri dans ses derniers instants, a répondu d'un point de vue moral à cette sanction de la société conséquente au diagnostique d'EVP: "Une personne avec un cerveau "profondément atrophié" a besoin de soins et d'amour.  Terri n'est pas morte de l'atrophie de son cerveau.  Elle est morte d'une atrophie de la compassion de la part de son propre mari et de ceux qui l'ont délibérément aidé à la faire tuer". 

L'autopsie ne permet pas non plus de faire clairement la lumière sur l'étendue des dommages causés au cerveau par la période prolongée de famine et de déshydratation forcée qui ont finalement été cause de sa mort, et, préalablement, de la dégradation de sa condition pysique jusqu'à n'être plus que l'ombre d'elle-même.

Quoiqu'il en soit, les nombreuses protestations faites par le mari ou les membres du tribunal, prétendant que Terri avait souffert d'un désordre de la manducation n'ont obtenu aucun crédit auprès du légiste.

Le père Franck Pavone a résumé l'attitude de ceux qui ont considéré la mort de Terri comme une tragédie qui aurait pu être évitée, résultat d'un prétendu 'droit de mourir', vue de l'esprit qui a englouti et finalement détruit la vie de Terri, et contre quoi elle n'a pas pu se défendre en raison de son état.  "Aucun détail de cette autopsie ne vient changer la considération morale de ce qui est arrivée à Terri... Ses lésions et son handicap physique ne l'ont jamais faite moins humaine.  Aucune quantité de dommages au cerveau ne justifie de refuser à une personne les soins appropriés à tout être humain.  Cela inclut la nourriture et l'eau".
Sitio!
Lifesitenews

Le site du père Pavone: Priest for Life. Culte aux States!
15.06 USA: Hygiène et clinique d'avortement. Kansas: allégations de cannibalisme

L'ordre des médecins de l'Etat du Kansas a voté samedi, à l'unanimité, de le retrait de sa licence à l'avorteur Krishna Rajanna. Le vote intervient deux mois après la fermeture de sa clinique pour raison de sécurité.

Ladite clinique a fait l'objet d'un examen minutieux pendant plusieurs années, en fait, depuis que l'inspecteur William Howard ait été appelé par Rajanna lui-même afin d'enquêter sur des plaintes pour vol. L'inspecteur n'a pas fait long avant de remarquer l'état alarmant de l'hygiène de l'établissement. Dans son rapport, Howard souligne l'état "dégoûtant" dans lequel se trouve la clinique: "Il y avait de la vaisselle sale dans l'évier et sur les tables, des détritus partout, des cafards, et le tout avec une puanteur...  Franchement j'étais peu disposé à m'asseoir... l'équipement médical était nettoyé avec de l'eau de javel puis mis au lave-vaisselle. Moi qui ai vu les pires scènes du crime, je pensais avoir tout vu, mais je n'étais pas au bout de mes suprises quand j'ai commencé cette enquête".
Plus troublé, Howard continue: "La femme qui a témoigné a décrit comment elle, sa fille et d'autres jeunes filles ont vu Rajanna placer un des foetus qu'il avait avorté et le mélanger à son dîner".

L'ordre des médecins a cependant décidé ne pas retenir le pire de ces accusations et s'est plutôt concentré sur l'état lamentable de la stérilisation de la clinique, raison suffisante pour le retrait de license.
Rajanna avait déjà été
sanctionné en 2000 et 2001 pour ne pas avoir examiné correctement les groupes sanguins de ses patients et pour prescription erronée de certains médicaments. 
Deux visites récentes de l' inspecteur du ministère de la santé avaient indiqué, une fois
encore, le manque de propreté du service, plus une souris morte dans le vestibule et des seringues rangée dans un réfrigérateur ouvert à tous.  L'avocat de Rajanna a essayé de défendre son client en précisant que lui retirer sa licence blesserait les clients de faible revenu qui ont eu, ou voulu avoir, recours à des avortements auprès de la clinique de Rajanna.  Nancy Welsh, membre de l'ordre, ne s'est pas laissée impressionner par cet argument, précisant que ce n'est pas parce que les gens sont pauvres qu'ils n'ont pasa droit aux normes médicales standard.
Ce cas intervient peu de temps après l'adoption par le parlement du Kansas d'une mesure exigeant que les cliniques d'avortement fassent la demande d'un permis annuel du département de la santé et de l'environnement, permis contraignant lesdites cliniques à se plier à un ensemble strict de directives en matière de salubrité et de sécurité.  Contre toute attente, cette mesure ne prendra pas effet, la Gouverneur Kathleen Sebelius, pro-avortement, a émis son véto arguant qu'il ne revenait pas aux parlementaires de statuer en matière de directives médicales.
Lifesitenews
14.06 France, propagande d'Etat: Sujet du Bac, la défense de l'avortement

La semaine dernière, les élèves qui passaient l'épreuve scientifique du bac littéraire avaient 2 sujets au choix, dont l'un était  : "Procréation, maîtrise de la reproduction".
Les candidats devaient répondre à 4 questions :
- Indiquer les effets de la pilule sur l'ovaire, la muqueuse utérine et la glaire cervicale 
- Expliquer le mécanisme par lequel agit cette pilule 
- Citer 2 autres moyens contraceptifs. Donner le principe de leur action contraceptive
- Dégager des arguments en faveur de l'autorisation légale de l'IVG (parce qu'il y en a ? ndlr) en France et argumenter l'idée selon laquelle l'avortement n'est pas considéré comme un moyen de contraception.

Tout sur Gènéthique.org
13.06 USA: Nick Cannon, le rappeur qui aime sa maman

--> Nick Cannon en début de carrière

Nick Cannon, 24 ans, rappeur soul star multifonction aux States, acteur, chanteur, compositeur, producteur, animateur de son propre show télévisé et grand pote de Sir Will Smith vient de sortir un album: "Can I Live".
Le clip de la chanson titre, que Cannon met gratuitement en ligne sur son site, raconte l'histoire de la propre mère de Cannon, de sa souffrance, de ses doutes lors de sa visite dans une clinique d'avortement. Cannon apparaît dans le clip vêtu de blanc et chante auprès de sa mère: "Laisse-moi plaider ma cause". La mère est sur la table d'opération, prête à subir un avortement mais, soudain, se lève et s'enfuit de la clinique, "I hate this clinic", chante le rappeur. Le clip se termine sur un plan de Cannon et de sa mère, 24 ans plus tard, l'un dans les bras de l'autre: "Je ferai toujours partie de toi ... Merci de m'avoir écouté, merci de m'avoir écouté".
Nick Cannon a reçu de nombreux témoignages de mères confessant avoir pleuré après avoir vu la vidéo, une autre a témoigné que ce clip l'avait confirmée dans son choix de ne pas avorter.
"Ce disque est extrêmement important pour moi et pour notre communauté, a écrit Nick Cannon sur le forum de son site, selon l'agence Lifesitenews.  Il y a beaucoup de jeunes mères dans le besoin qui ont dû lutter pour élever leurs enfants.  J'ai juste voulu reconnaître le dévouement de toutes ces femmes fortes qui élèvent leurs enfants par leurs propres moyens à travers ce que ma propre mère a fait pour moi.  Ma Fondation et moi-même voulons vraiment venir en aide à ces jeunes femmes.  Si quelqu'un de vous connaît une mère entre 15-25 ans qui traverse un moment difficile de sa vie, j'aimerais beaucoup entendre son histoire.  Écrivez-moi svp et expliquez-moi sa situation et comment je pourrais l'aider.  Je vérifierai le site web et répondrai en conséquence.
On peut ne pas aimer le rap... mais wow!
Lifesitenews.

La vidéo
Le site de Nick Cannon
Voter pour le clip
cliquer13.06 France, Life Parade: Une ambiance de fous! L'interview exclusive du BAF

8000 personnes, moyenne d'âge 22-23 ans, étudiants, jeunes familles, parade festive, concerts, punk, rock, java, manouche, défilé de mode "respectueux de la dignité de la femme", témoignages. Des jeunes qui "ne sont pas en rébellion, mais s'engagent de façon constructive" pour le respect des plus faibles.
Interview exclusive d'Emile Duport, président de la Life Parade: 24 ans de bon sens, de dynamisme festif et d'enthousiasme massif (chêne brut ou marbre de Carrare, à choix); la manif par le menu, le déroulement, la programmation, les projets pour l'année prochaine.

Entretien (qualité téléphone cellulaire) avec Emile Duport, président de la Life Parade (8'40).
Aidez à boucler le financement de la Life Parade
Photos
cliquer13.06 France: Lendemain de Life Parade

--> Photo sur www.nd-chretiente.com

Témoignage d'une de nos lectrices sur le Forum du BAF:

"Alors, qui est venu à la life-parade ?
Voici ce que j'ai vu :
Soleil magnifique.
Le défilé a quitté la place Denfert-Rochereau à 15h30 au son de musiques d'artistes au service de la vie, projetées depuis 5 chars. Il y avait un char de handicapés, j'y ai mis mon Pitchoune, il a été dorloté et a "voyagé" à l'oeil pour son plus grand plaisir.
On était à peu près 10 000, énormément de jeunes, portant le tee-shirt "100% pro-life" (du coup les gosses aussi, et même les chiens !), des ballons partout.
Arrivés aux Invalides, on était paraît-il 20 000. Sur l'estrade prévue les frères Patrice et Roger Martineau ont démarré le programme avec leurs chansons "... de vos entrailles", "L'enfant de Mongolie" et "La vie de famille".
Joan Maflys (compositrice & interprète) a pris le relais, puis il y a eu un défilé de mode italien sous le thème de la beauté du coeur, avec témoignages des mannequins.
Ensuite Jean-Baptiste Hibon, handicapé de naissance, a expliqué avec beaucoup d'humour et d'intelligence son amour de la vie malgré ses difficultés et ses souffrances.
Puis Tim Guénard, ex-enfant abandonné à 3 ans par sa mère, battu par son père, défiguré, démoli, hospitalisé 2 ans sans aucune visite ni tendresse, devenu voyou, violent, boxeur, chef de bande, guidé par la haine, auteur de "Plus fort que la haine" et "Tagueurs d'espérance", a expliqué comment les handicapés de l'Arche l'ont sauvé, comment il a progressivement retrouvé confiance en l'amour, comment il s'est reconstruit grâce à l'indispensable notion du pardon, ce qui l'a conduit à épouser martine qui lui a donné 4 enfants. Tim a dit entre autres qu'il aimait sa mère, car en lui ayant donné la vie, elle lui a permis de donner de l'amour, de donner du "beau" et de "faire des câlins sur les projets du Créateur".
Dominique Morin a peut-être témoigné comme prévu, je ne sais pas, je n'étais pas toujours attentive (j'ai discuté un peu).
Je ne me souviens pas non plus du groupe Carmenz (rock garage) et pas non plus du groupe Spacymen (pop rock) mais je me souviens du groupe Sao (groove).
Des enfants jouaient ensemble sur la pelouse derrière l'estrade, tous avec leurs ballons et leurs tee-shirts trop grands "life parade".
Un groupe de mamans portugaises avec chacune son bébé dans les bras a posé devant la place Vauban pour un atroupement de photographes, dont un professionnel.
Puis je suis partie à 20h00, alors je ne peux pas raconter la suite".


Le sujet sur le Forum du BAF
Le site de la Life Parade
cliquer10.06 USA: La NARAL fête le 40e du contrôle des naissances

--> Le Dr. Bernard Nathanson, membre fondateur de la Naral en 1968, pro-vie des plus fervents aujourd'hui.

La National Abortion Rights Action League (NARAL), organisation pro-avortement, pionnière aux USA, lance une campagne pour encourager les pharmacies à distribuer la pillule du lendemain pour fêter le quarantième anniversaire de la légalisation du contrôle des naissances. La  NARAL demandent à ses partisans d'inciter leur pharmacie locale à manifester leur soutien et a distribuer la pillule du lendemain. Quand les pharmacies se font lieux de culte...
SPUC
10.06 Malte: Le parti travailliste maltais tempère les ardeurs des pro-vie

Le groupe pro-vie maltais Gift of Life a invité le parti travailliste à appuyer une initiative pour l'inscription de la défense de la vie dans la Constitution.  Alfred Sant, leader du parti travailliste maltais, a indiqué que l'avortement n'était pas la plus urgentes de ses priorités, tout en assurant, cependant, que le parti restait totalement opposé à l'avortement.  Paul Vincenti de Gift of Life a fait la déclaration suivante:  "Quel message plus clair Malte pourrait-elle envoyer à l'Europe et au monde, une fois toutes les mesures légales prises et mises à la disposition de nos politiciens pour la défense de la vie, particulièrement sous sa forme la plus démunie?".
SPUC
cliquer10.06 Chine, politique de l'enfant unique: Argent contre soumission

Les autorités chinoises ont indiqué qu'elles augmenteront l'aide financière aux couples des zones rurales économiquement faibles à la seule condition que ceux-ci se soumettent une fois pour toutes à la politique de l'enfant unique.  L'arrangement pilote accordera 600 yuan (72$) par an aux couples de plus de soixante ans qui ont un seul enfant, ou deux si le premier était une fille.  Pan Guiyu, ministre du planning familial, a rejeté les propositions dans le sens d'une cessation voire d'un allègement des punitions des couples qui violent les règles de la politique de l'enfant unique.
Scotsman/Spuc
10.06 USA: Bush veut adopter les embryons

Lors d’une conférence de presse mardi matin, le Président Bush a réaffirmé sa position en faveur de l’adoption des embryons plutôt que leur destruction par la recherche sur les cellules embryonnaires.
« Il y a une alternative à la destruction de la vie », dit-il en rappelant la cérémonie de la Maison Blanche à laquelle il avait participé la semaine passée « avec des petits bébés nés après avoir été des embryons congelés ». Bush déclare que le débat sur la recherche sur les cellules souches embryonnaires « concerne directement les finances fédérales » ; il poursuit en expliquant « il s'agit de savoir si oui ou non, nous allons utiliser l’argent des contribuables pour détruire la vie afin d’éventuellement trouver un remède à une maladie terrible ». Le président Bush comprend les soucis des patients qui recherchent des cures et des traitements à diverses maladies mais, en même temps, « Il est important pour une société d’équilibrer science et éthique ».
Lifesitenews

cliquer10.06 Canada: Briser le silence pour guérir, des êtres humains blessés témoignent des conséquences de l'avortement.

Pendant la campagne “Silent No More Awareness Campaign” (SNMAC) qui a suivi la Marche Nationale pour la Vie (National March for Life), jeudi passé à Ottawa, 20 personnes de plusieurs régions du Canada ont donné des témoignages émouvants sur les effets dévastateurs de l’avortement dans leur vie.
La co-fondatrice canadienne de la Campagne, Angelina Steenstra, interviewée par LifeSiteNews.com, explique que les participants de la SNMAC d’Alberta, de Colombie britannique, du Manitoba, du Québec et de l’Ontario ont rencontré des pro-vie au retour de la Marche Nationale pour partager leurs témoignages post-avortement – y compris 2 personnes de la foule qui ont rejoint le groupe au dernier moment, une femme de Montréal et un homme d’Ottawa.
3 hommes exprimèrent alors leur regret de paternité perdue. 17 femmes témoignèrent aussi des douleurs émotionnelles, physiques et spirituelles qu’elles ont ressenties après leur avortement. Pour Steenstra, le but de ce partage de vécu a été de «  briser le silence, afin de pouvoir guérir ». 
« Après mon avortement, il y a 19 ans, un interne m’a demandé de me taire alors que je réclamais mon bébé (avorté) parce que je perturbais les gens dans la salle de réanimation », déclare Debby Fisher de Brampton lors de la manifestation. «  Je me suis tue jusqu’à l’année passée quand j’ai vu pour la première fois des femmes comme moi se lever pour dire ‘Je regrette mon avortement’ lors de la manifestation de la SNMAC à Ottawa. J’ai réalisé que Dieu me demandait de ne plus me taire ».
« Les docteurs d’un comité pour l’avortement thérapeutique (Therapeutic Abortion Committee) ont décidé que l’avortement était la meilleure solution dans mon cas » raconte Dale Barr de Brampton. « S’ensuivirent 9 années d’autodestruction par les drogues, l’alcool, la promiscuité sexuelle et 4 fausses couches durant mon mariage ».
Les effets de l’avortement sont très réels, poursuit Steenstra.  En citant Vicki Thorn, fondatrice de PROJECT RACHEL qui dit que « L’avortement est une perte qui change son sens… nous ne savons pas à quel point elle change son sens », Steenstra souligne que le syndrome post avortement (PAS) peut être très différent et ne pas suivre immédiatement l’avortement mais peut débuter quelques années plus tard.
En se référant à sa propre expérience, Steenstra affirme que son avortement à la suite d’un viol à 15 ans «  fut le début de nombreuses années de regret ». Elle décrit l’un des effets les plus significatifs comme la haine d’elle-même qui la conduisit à de la promiscuité sexuelle, laquelle aboutit à une maladie sexuelle qui lui vola, entre autres, sa fertilité. «  Est-ce que je regrette mon avortement ? Absolument ».
Son avortement fut la conséquence de choix de vie auto-destructeurs qui, pour Steenstra, « cessèrent seulement après une expérience de conversion qui m’a mise sur un chemin de guérison qui m’a alors aidé à comprendre toutes les décisions que j’avais prises après l’avortement ».
Selon un communiqué du mouvement, « La SNMAC (National Silent No More Awareness Campaign) s’efforce à rendre le public conscient du désastre que l’avortement cause aux femmes, aux hommes et aux familles ». «  La douleur émotionnelle et physique de l’avortement ne sera bientôt plus enfouie dans le secret et le silence mais sera exposée et guérie. Cet effort est une clé pour rendre l’avortement impensable et pour persuader la société que les femmes méritent mieux que l’avortement ».
La SNMAC a fait ses débuts canadiens lors de la Marche Nationale Pour la Vie à Ottawa en 2004. Pour Steenstra, le nom « Silent No More » (fini le silence !) est aussi le titre d’un livre du Dr. David Reardon, spécialiste post-avortement et chercheur ayant particulièrement étudié les conséquences des avortements:
Les adolescentes tenteront 10 fois plus de se suicider après un avortement, 60% des femmes penseront au suicide et 28% passeront à l’acte après leur avortement. Après un avortement, les femmes multiplient par 4 la probabilité d’abuser de stupéfiants.
Lifesitenews.
07.06 Rome, congrès de la famille: Benoît XVI défend la famille et la vie "depuis sa conception jusqu'à sa fin naturelle"

Le pape a réaffirmé avec force les dogmes de l'Eglise catholique sur l'intangibilité de la vie humaine. Benoît XVI a inauguré hier soir à St Jean de Latran la convention du diocèse de Rome sur la famille. L'occasion de réitérer sa condamnation des manipulations sur "la vie qui naît" à quelques jours du référendum italien sur la fécondation médicalement assistée
Le congrès du diocèse de Rome sur la famille se tiendra jusqu’à jeudi, avec une réflexion autour du thème « formation de la personne et transmission de la foi »

Le sujet de Gabrielle de Jasay de Radio Vatican
Radio Vatican
07.06 Italie, référendum sur la procréation assistée: Cardinal Cottier: La Production d'embryons est un massacre

"Ne citez pas saint Thomas, l’embryon est déjà humain", (St Thomas se basait sur les maigres capacités d'observation scientifique de son temps pour établir une hypothèse quant à la date de l'"arrivée de l'âme"; cette opinion n'a jamais engagé l'Eglise)  a déclaré le cardinal Cottier dans un entretien accordé à Marco Tosati pour le quotidien italien "La Stampa".
Le cardinal Cottier réaffirme ce qu’il avait déjà proclamé en janvier dernier : "L'embryon est un être humain en devenir", et non pas un quelconque amas de cellules. La fécondation in vitro engendre un nombre conséquent de "déchets", entendre d'embryons détruits. "Au microscope, il peut apparaître comme tel, insiste le Dominicain, mais il est déjà organisé, et il est capable de s'organiser, il est potentiellement humain, il est un homme".
En outre, pour ce qui est de la fécondation "hétérologue", c’est-à-dire par un donneur étranger au couple, le cardinal Cottier invite à envisager le point de vue de l’enfant et déclare : "Le fait de savoir qui est son père demeure un problème ( …). Dans certains pays on dit: l'enfant a le droit de savoir et dans d'autres pays, au contraire, on préfère le cacher". Il conclut : « Dans les deux cas, il y a des traumatismes psychologiques ".
Déjà, le 29 janvier dernier, dans les colonnes du quotidien "Avvenire", le cardinal Cottier avait affirmé que « l’embryon étant une personne en devenir, il est évident qu’il a une âme". Il partait des données scientifiques pour affirmer : "Il s’agit avant tout de la génération d’un être humain. Ses parents ne sont ni des végétaux ni des animaux. Donc, dès le début l’embryon est ordonné par nature à recevoir de Dieu l’âme spirituelle. Et c’est pour cela que juridiquement, il doit être considéré comme une personne".
"Les théories qui nient ce concept, insistait le cardinal, sont incapables d’expliquer quel est le moment où dans la chaîne de la vie on se trouve devant une personne".
Il ajoutait : "Nous devons nous garder de ces traités de bioéthique qui affirment que les êtres humains ne sont pas tous des personnes. Par exemple lorsque l’on dit que l’embryon n’est pas une personne. Mais aussi lorsque l’on établit que le malade atteint d’Alzheimer n’est plus une personne parce qu’il n’est pas conscient".
Pour ce qui est du drame des embryons congelés, il disait : "Ces embryons ne devraient pas exister. Mais la fécondation artificielle a des taux de réussite bas et pour éviter des échecs, on augmente la production d’embryons. Et c’est un massacre".

Source: Zénit
03.06 Manuel du parler "Pro-vie", pour éviter aux grands d'en dire de trop grosses et d'en faire de plus grosses encore

Un "lexique des termes ambigus et controversés sur la famille, la vie et les questions éthiques" publié par le conseil pontifical de la Famille a été présenté dans sa version française ce mercredi à Paris : il offre un remède à une certaine « manipulation du langage ".
Le lexique s’adresse plus particulièrement aux hommes politiques, aux parlementaires, aux mouvements, aux éducateurs, aux associations familiales, aux ONG, aux centres de formation à la pensée catholique

Mgr Jean-Pierre Ricard, archevêque de Bordeaux et président de la conférence des évêques de France, a souligné l’origine de cet ouvrage, lors de sa présentation : « Le projet qui a donné naissance au Lexique remonte en effet à 1994, et, pour être précis, à la Conférence Internationale du Caire sur la population et le développement (5-13 septembre 1994) organisée par les Nations Unies, plus précisément au sein de son organe subsidiaire pour l’assistance aux populations dans les pays en voie de développement le FNUAP, le Fonds des Nations Unies pour la population, présidée par Madame Nafis Sadik ".
« Certains des participants à cette Conférence s’aperçurent que, tant dans le document préparatoire que dans les discours des responsables du FNUAP, on utilisait, au cours de la Conférence, un langage curieux, presque codé, dans lequel certaines expressions apparemment anodines, mais en fait ambiguës ou à double sens, revenaient régulièrement et pouvaient donner le change sur les véritables intentions des organisateurs de la Conférence. Ces mêmes participants s’aperçurent ainsi que cette manipulation du langage n’était pas propre à la Conférence du Caire, mais semblait être devenue une habitude dans ce secteur particulier de l’ONU. Conscients de ce que des personnes non averties pourraient se laisser prendre à ce jeu sémantique dans d’autres réunions internationales, et voter, sans s’en rendre compte, en faveur de motions opposées à leurs convictions, ces délégués demandèrent alors au Conseil pontifical pour la famille, qui avait un représentant dans la Conférence, de publier une sorte de lexique des expressions ambiguës ou à double sens utilisées en particulier dans les textes et documents du FNUAP (…) ".


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cliquer02.06 Faire des bébés réduit les risques de cancers

Des chercheurs australiens ont corroboré des recherches démontrant que les femmes ayant beaucoup d'enfants développent une protection significative, non seulement contre le cancer du sein, mais également contre les cancers colorectaux, ovariens et utérins, et ce tout au long de leur vie. 
"Plus vous avez d'enfants, plus la protection est forte", dit le statisticien médical Steven Darlington, membre du groupe de recherche médicale de l'institut du Queensland (Queensland Institute of Medical Research, QIMR). "Il semble qu'une augmentation des hormones produites pendant la grossesse protègent contre le cancer, mais nous ne sommes pas tout à fait sûrs de comment ou pourquoi cela se produit". 
Après avoir étudié les taux de cancer et leur corrélation avec le nombre d'enfants nés auprès d'1,2 millions de femmes suédoises, Darlington et ses collègues ont trouvé un lien significatif entre le nombre d'enfants et l'incidence des cancers, notant que la multiplicité des enfants était particulièrement protectrice contre le cancer colorectal.
Les enregistrements des données propres aux naissances et aux cancers sont plus détaillés et complets en Suède qu'en Australie, a-t-il encore expliqué.  En outre, commencer une famille à un plus jeune âge confère une protection significative contre le cancer du sein, contrairement à ce qui a pu être observé chez des femmes ayant commencé à fonder une famille à un âge plus avancé.  Ces résultats ont été publiés par la revue académique Twin Research and Human Genetics.

Bref, ne tardez plus, commencez dès maintenant une thérapie préventive contre le cancer ;-)
Et vivement le bébé remboursé par les assurances!
02.06 Angleterre: Le fisc en veut aux familles

D’après une étude réalisée par l'organisation Civitas, le système fiscal de Grande-Bretagne pénalise les familles et favorise les mères célibataires. En Grande-Bretagne, le débat sur les aides aux mères célibataires a été relancé après une révélation faite la semaine dernière : une famille de Derby composée de trois soeurs ayant chacune un enfant et de leur mère divorcée, reçoit plus de 31 000 livres par an d’allocations.

Source: Fondation Guilé
31.05 France, cimetière pour foetus: Mettre fin à la conspiration du silence

Le Jardin des anges...tel est le nom de la partie du cimetière d'un petit village du Territoire de Belfort consacrée aux bébés morts in utero.
Nathalie Franze dont le bébé est enterré là bas témoigne. Le 10 novembre dernier, cette jeune femme, enceinte de 20 semaines subit une interruption  médicale de grossesse après qu'on lui eut révélé que le foetus était porteur d'une trisomie 21."Cette décision a été une épreuve terrible. J'ai pensé à mon bébé et à ce que j'allais devenir " explique t-elle. 
Conformément à la loi, il n'y eut pas d'acte de naissance, ni de certificat de décès. Rappelons qu'une circulaire interministérielle du 30 novembre 2001 autorise l'inhumation des foetus à compter de 22 semaines d'aménorrhée. A partir de ce seuil une déclaration à l'état civil est désormais obligatoire, que le foetus soit né vivant ou mort. Les parents peuvent inscrire le nom de l'enfant sur le livret de famille. En deçà  de ce seuil, l'inscription à l'état civil n'est obligatoire que si le foetus est né vivant. L'inscription sur le livret de famille est par contre impossible.
Or depuis des années, une sage femme de l'hôpital de Belfort-Montbéliard  veut mettre fin "à la conspiration du silence" qui règne dans les services de maternité. Elle explique que les médecins "ne parvenant pas à admettre l'échec d'une grossesse, préfère fuir ces femmes et leur souffrance". "Banaliser ce deuil ne les aide en rien" explique t-elle. Après plusieurs années de combat, elle a convaincu son service et le conseil général de créer un lieu d'inhumation pour les foetus.
Début mai, le Jardin des anges a été inauguré. Nathalie Franze a été la première à y faire inhumer son bébé. Autour d'elle, beaucoup ont été choqués d'apprendre qu'elle avait fait enterrer son enfant : "Ils me disaient : mais enfin, Nathalie, tu n'as pas perdu d'enfant...Si, j'ai perdu un enfant. Et je dis d'ailleurs maintenant que j'ai été mère quatre fois" ajoute-t-elle.

Source: Gènéthique.org
L'article de Libération
cliquer30.05 Amnesty international, rapport 2005: Planning familial, la Chine continue de persécuter les femmes.

--> Mao Hengfeng, avortée de force dans un camp chinois, et ses filles devant le Bureau des plaintes de Shanghai. Une sacrée bonne femme!

L'avortement obligatoire est toujours une réalité en Chine, dénonce Amnesty international dans son rapport 2005, présenté à Londres vendredi dernier. La politique de l’enfant-unique imposé de façon violente et les avortements de force continuent d’être monnaie courante dans l’Empire du milieu; et ce malgré les promesses répétées de Pékin de « lever le pied ".
« En 2004, selon les informations reçues par Amnesty International, la mise en œuvre du planning familial a continué de donner lieu à de graves violations perpétrées contre des femmes et des jeunes filles, notamment des avortements et des stérilisations forcés. En juillet, les autorités ont publiquement réaffirmé l’interdiction de pratiquer l’avortement sélectif des filles afin de rééquilibrer la proportion des naissances, celles-ci étant marquées par un excédent masculin croissant.
Les femmes placées en détention, notamment de très nombreuses pratiquantes du Fa Lun Gong, restaient exposées aux actes de torture, en particulier au viol et à d’autres violences sexuelles.
En janvier, les autorités ont adopté une nouvelle loi visant à empêcher la police d’infliger aux prostituées des amendes payables immédiatement. Toutefois, elles recouraient toujours à un système dit de «détention et éducation" pour priver de liberté – sans inculpation ni jugement – des femmes soupçonnées de se livrer à la prostitution, ainsi que leurs clients présumés.
En avril, Mao Hengfeng a été astreinte à dix-huit mois de «rééducation par le travail" dans un camp parce qu’elle persistait à adresser des requêtes aux autorités. Elle protestait contre l’avortement forcé qu’elle avait subi il y a quinze ans du fait de la politique chinoise de contrôle des naissances. Au camp de travail, Mao Hengfeng aurait été ligotée, suspendue au plafond et sauvagement battue. Dans le passé, elle a été internée à plusieurs reprises dans des unités psychiatriques, où elle a été soumise contre son gré à un traitement aux électrochocs ", dénonce le rapport 2005.
A cette heure, peu de gouvernements ont choisi de suivre l'exemple des Etats-Unis et de refuser, purement et simplement, le financement du programme du Fond des Nations-Unies pour la population (FNUAP), basé sur un soutien inconditionnel des mesures coercitives en matière d’avortement décidées par le régime de Pékin.
En décembre passé, Arthur Dewey, adjoint au secrétaire d'Etat des Etats-Unis pour le bureau de la population, des réfugiés et de l’immigration a déclaré que: "Le soutien du FNUAP et sa participation aux activités de contrôle de la population du gouvernement chinois permet audit gouvernement de mettre en application de manière plus efficace encore son programme d'avortement coercitif, et, de ce fait, tombe sous le coup de l’interdit de Kemp-Kasten, lequel condamne toute organisation qui soutient ou participe à la gestion d'un programme d'avortement coercitif ou de stérilisation involontaire". Résultat: Les Etats-Unis ont retiré leur subvention au FNUAP depuis ces trois dernières années. On se souvient de la réaction unanime et simultanée, d’un bout à l’autre de la planète, de l’intelligentsia de gauche pour dénoncer ce « retour en arrière " imposé par les vues rétrogrades de M. George W. Bush; sans commentaire… 
"La loi de planification des naissances chinoise et son règlement d’application maintiennent sévèrement des éléments de coercition dans la loi et la pratique.  L'avortement et la stérilisation obligatoires sont des violations insignes des droits de l'homme et devraient être une préoccupation majeure de la communauté internationale, comme des Chinois eux-mêmes.  Malheureusement, nous n'avons pas rencontré suffisamment de bonne volonté chez les autres membres de la communauté internationale pour se dresser avec nous sur ce créneau de la défense des droits de l’homme". 
Le Canada est parmi ces "autres membres" qui ont refusé de changer leur politique malgré l'évidence accablante des abus commis contre les femmes.  Bien au contraire, le gouvernement canadien a profité de la visite du président Bush, en novembre dernier, pour annoncer augmentation 67 millions de dollars US (sur quatre ans) à sa contribution annuelle de 13,1 millions (U$) au FNUAP. 
Selon l'ancien secrétaire d'Etat Colin Powell, "Le FNUAP aide à améliorer l'administration des bureaux locaux du planning familial, lesquels accordent, d’une part, de larges allocations et, d’autres part, de nombreuses pénalités qui contraignent très efficacement les femmes à l’avortement". 
Le soutien, discret mais nourri, de la communauté internationale en faveur de la politique de l’enfant unique chinoise, et ce en pleine connaissance des atrocités commises, peut-être très clairement assimilé à une forme de complicité.
En février de cette année un requérant d’asile originaire de Chine, ayant officié en tant que directeur de planning familial, était débouté par une cour canadienne, laquelle avait reconnu que forcer des femmes à avorter contre leur gré constituait un crime contre l'humanité.  Li Min Lai avait en effet confessé avoir imposé agressivement la politique de l’enfant unique sur son lieu de travail. Il avait même été jusqu’à camper devant la maison d’une de ses employées afin de la pousser à avorter son bébé au septième mois de grossesse.  Le juge Sandra Simpson, de la cour fédérale, a confirmé la décision du conseil des réfugiés du Canada, lequel a statué, l'an dernier, que le rôle de Lai dans ces avortements forcés contrevenait à la convention des Nations-Unies concernant le statut des réfugiés.

Exigez la libération de Mme Mao Henfeng
27.05 George Bush réprouve la loi sur les cellules souches embryonnaires
cliquer27.05 Russie: Un ecclésiastique tire la sonnette d'alarme

Dimitry Smirnov, archiprêtre de l'église orthodoxe russe et aumônier de Zhizn (en russe, Vie), association pro-vie russe, a vigoureusement condamné vendredi l'avortement comme cause principale de l'actuel effondrement de la démographie dans son pays.  "Un terme à l'avortement permettrait d'éviter les décès inutiles de quatre à six millions d'enfants russes tous les ans", a dit l'archiprêtre.
Smirnov a dénoncé la publicité exagérée pour la poursuite de notions, telles la carrière ou le confort, comme autant de carences modernes contraires à la quête du bonheur vrai.  "Les gens ne réalisent pas qu'une splendide éducation, un succès dans leur carrière ou l'argent ne peuvent être un produit de substitution pour la famille". 
cliquer25.05 Le card. Daneels dénonce les manoeuvres des Catholics for a free choice.

--> France Kissling, présidente de CFFC

L'association pro-avortement américaine Catholics for a free choice (CFFC), célèbre en Suisse pour avoir largement contribué au financement de la campagne en faveur de la  solution des délais, fait à nouveau parler d'elle:
En juin dernier, elle invitait ses militants à écrire des lettres de remerciements au card. belge Gottfried Daneels pour certains de ses propos en faveur de l'usage du préservatif. Les CFFC ont envoyé en outre une lettre demandant au card. Daneels de prendre la tête d'une campagne pour forcer l'Eglise à un changement radical de doctrine sur cette question.
Le card. Daneels a qualifié cette tentative de récupération de "déplorable" et a rappelé que la seule solution efficace contre la diffusion du virus du Sida restait: "une éducation morale enseignant la chasteté et la fidélité envers son mari ou son épouse".

Daneels, cependant, n'a jamais rétracté ni même corrigé ses commentaires de janvier 2004, à l'antenne de la radio catholique hollandaise RKK: "Quand quelqu'un est séropositif et que son partenaire lui dit:  Je veux avoir des relations sexuelles avec vous -- il ne doit pas le faire, si c'est cela que vous me demandez -- mais s'il le fait, il doit employer un condom".

cliquer25.05 France: Révision de la loi sur la Bioéthique...déjà

L'expérience menée par l'équipe sud-coréenne du Pr Woo Suk Hwang sur 31 embryons clonés fait parler d'elle. De nombreuses nations, la Belgique ou les Pays-Bas ont déjà voté des lois en faveur du clonage dit thérapeutique. Les débouchés ont l'air bien reéls, si bien que certaines voix s'élèvent en France,  pour modifier la loi sur la bioéthique, dans le même sens que ses voisins. Une loi qui ne date que du 6 août 2004

Pour Carine Camby, directrice générale de la toute récente Agence de biomédecine, rien ne presse. "Si nous devons prendre une nouvelle décision, cela ne peut être sous la pression d'une publication scientifique, si intéressante soit-elle."
Carine Camby reconnaît qu'il est possible de modifier la loi de bioéthique, mais qu'il faut y réfléchir sérieusement, les aspects éthiques, anthropologiques et religieux d'une autorisation du clonage thérapeutique étant importants.
Elle rappelle, en outre, que la loi permet  déjà, pour cinq ans, la recherche sur les embryons. En effet, il est possible, pour les chercheurs français d'utiliser des lignées de cellules souches importées, et d'expérimenter sur des embryons, issus de fécondation in vitro, abandonnés à la recherche par leurs parents.
"Il est normal que certains chercheurs souhaitent sa révision, dit-elle, mais il en existe tout autant qui sont satisfaits de cette loi."
"La question n'est pas de savoir si la France est en retard, mais de savoir si on accepte de rentrer dans la course au clonage thérapeutique." déclare-t-elle.
En Suisse, on se souvient que le Conseiller fédéral Pascal Couchepin avait promis le 0 clonage pendant la campagne contre les cellules souches, au moment même, d'ailleurs, où la délégation suisse à l'Onu votait en faveur du clonage thérapeutique; on attend de voir.
(Gènéthique.org)
cliquer24.05 Belgique: scandale de la mère vendeuse

Une jeune femme belge a proposé, il y a plus d'un an, à un couple d'être la mère porteuse de leur enfant, via l'insémination artificielle, pour une somme d'environ 10.000€, a révélé le quotidien la Libre Belgique. C'est plus courant qu'on ne le pense... Une fois en possession de la somme, elle leur a fait croire qu'elle avait fait une fausse couche et a proposé son bébé sur un forum Internet quelques mois avant la naissance.
Un couple d'homosexuels n'ayant pas accepté de payer 15.000 pour le bébé, elle le propose, après l'accouchement, à un couple Néerlandais pour la même somme. Aujourd'hui, la mère porteuse continue à sévir sur Internet.
La location de matrice est un marché en forte expansion aux Etats-Unis.
24.05 Sélection sexuelle... même Israël
cliquer24.05 Michigan: Echographie avant avortement!
 
Le Michigan devrait accepter une loi exigeant de l’industrie de l’avortement de permettre aux femmes de voir le développement de leur enfant au moyen d’une échographie. Car, souvent,  de voir une échographie de son tout petit,  fait qu’une femme qui envisageait d’avorter change d’avis.
Le Michigan pourrait voter cette disposition (House Bill 4446) dès cette semaine. Les partisans de l’avortement s’opposent à cette loi et Sarah Scranton, directrice en charge du Planning Familial au Michigan a déclaré au journal Flint que : «  Nous ne pensons pas que les politiciens doivent jouer au docteur ". Mais le républicain David Robertson, qui parraine cette proposition signale que les femmes ne sont pas obligées de regarder l’échographie. « Il n’y a rien dans la loi qui obligerait la femme à regarder l’image. La décision est la sienne entièrement " a-t-il déclaré au journal.

Judy Climer, présidente de 'Droit de Vivre' à Flint, dit qu’elle a demandé à Robertson d’introduire cette mesure quand elle a réalisé que les femmes qui envisageaient d’avorter ne recevaient pas d’information sur le développement fœtal avant de prendre leur décision. Kasie Huffman, 22 ans, de Flint, a déclaré à son journal local qu’elle avait envisagé d’avorter jusqu’à ce qu’elle voie l’image échographique de son bébé : «  Dès que j’ai vu l’échographie, il a été hors de question que j’avorte ! "  Huffman est maintenant à 4 mois de grossesse.

Nouvelles échographies 3D par ultrasons
cliquerSuisse24.05 Naissance anonyme, une nécessité pour la Suisse

Ne plus laisser les mères en détresse à l'abandon. C'est une femme, la conseillère nationale socialiste schwytzoise Josy Gyr qui a réagi la première à la détresse maternelle, brisant le mur d'indifférence encore si haut dans notre pays.
On ne peut pas se voiler la face indéfiniment, des abandons et des infanticides ont lieu, il faut faire quelque chose, dit en substance la conseillère nationale.
Quand ce sont les cantons dits "primitifs" qui s'attaquent à l'évolution des mentalités, c'est vraiment qu'il y a urgence.
Entretien (en allemand)
Entretien (avec traduction)
Suisse23.05 Suisse, naissance anonyme: La détresse sans nom

La Suisse est à la traîne en matière d'accouchement anonyme et les législateurs peinent à trouver une solution satisfaisante pour venir rapidement en aide aux mères en détresse. Rigidité, lenteur, évolution difficile des mentalités, il est plus que temps pour Berne d'adapter ses lois à la réalité présente et bien visible d'un nombre croissant de femmes dans notre pays.
Soucieux de faire avancer le débat, l'hôpital d'Einsiedeln, célèbre pour sa "solution" de la "fenêtre à bébé" organise, le 24 juin prochain, un colloque intitulé: "Naissance anonyme, une nécessité pour la Suisse".
La rédaction a contacté M. Schoenbaechler, directeur de l'hôpital régional d'Einsiedeln
Entretien (en allemand)
Entretien (avec traduction)
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23.05 Le droit à la vie remet-il l’avortement en cause ?

FAUX, répond le Figaro qui soulige toutefois le malaise suscité par l'article II-62 de la charte des droits fondamentaux : «Toute personne a droit à la vie." Faute d'une définition précise de ce qu'est une personne, le mot pourrait-il s'appliquer au foetus dès sa conception. Dieu nous en préserve!
Dans ce cas comme dans d'autres, la charte reprend pour l'essentiel le texte de la Convention européenne des droits de l'homme. Jamais, depuis, ce «droit à la vie" n'a été utilisé pour restreindre le droit à l'IVG. La cour chargée de faire respecter cette Convention, sise à Strasbourg, a toujours refusé de l'interpréter comme prohibant l'avortement.

Stéphane Marchand, l'auteur, souligne encore  que le droit à l'avortement n'est pas reconnu par la Constitution, et cela pour une raison simple : plusieurs membres de l'Union européenne ne le reconnaissent pas et auraient donc refusé cette clause. En Irlande et à Malte, l'IVG reste illégale. Au Portugal et en Pologne, elle n'est autorisée que dans certaines circonstances, par exemple si la vie de la mère est en danger. En Pologne, elle a été interdite après la chute du régime communiste, puis réautorisée de manière restrictive.

Dans son dernier numéro de mai 2005, SOS Tout Petits rappelle que, si la charte précise que: "Toute personne a droit à la vie et (que) nul ne peut être condamné à la peine de mort ni exécuté", elle ne dit rien des enfants à naître.
Encore beaucoup de chemin à faire pour plus de dignité humaine.

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