Les raisons de la torture ? Le… ‘mariage pour tous’

L’on sait enfin pour quelle noble cause la police valaisanne a dépêché ses sbires gantés de noir pour torturer un père de famille en situation de handicap…

Ceux qui oseront parler de ‘dictature LGBT’, seront immédiatement incarcérés. La joyeuseté nous vient tout droit de deux héros de la pensée unique : Maxime Auchlin, obscur président des Verts libéraux neuchâtelois, et Loris Grandjean, un psychologue… C’est sûr qu’envoyer la police pour rosser un handicapé, on ne fait pas mieux comme thérapeutique. Au diable les électrochocs, rien ne vaut une bonne tannée ; à l’ancienne !

L’un et l’autre déposent plainte pour crime d’hérésie homophobe contre inconnu – courageux mais pas téméraires –, mais désignent à tout le moins leur victime comme auteur potentiel, en ce que, tenez-vous bien, celui-ci a commis… des études (quand ils entendent le mot culture…)

A ces mots, le ministère public fribourgeois ne se sent plus de joie qui, pour ne pas perdre de temps en vains courriers, dégaine immédiatement le mandat d’arrêt. On ne plaisante pas avec la grande criminalité.

La raison de tout ce foin ? Cette phrase, glanée sur Facebook, qui remonte à 2021, au moment de la campagne pour le ‘mariage pour tous’ :

Ah parce deux mâles blancs façon colons qui achètent un gamin à une équipe de maquereaux en blouse blanche qui louent le ventre d’une miséreuse analphabète, ce n’est pas archaïque pour vous ça.

A savoir une critique de la maternité de substitution et du trafic d’êtres humains, toujours formellement interdits, respectivement par la Constitution et le code pénal – en attente de nouvelles ‘avancées’ progressistes –, dans un contexte où les groupes d’intérêts ‘LGBT’ campagnaient activement sur la façon de contourner la loi pour imposer la ‘grossesse pour autrui’ à large échelle dans le pays.

Vérités insupportables pour ces lévites de la bien-pensance, qui exigèrent la censure immédiate du débat démocratique par la force – sinon la violence – des nouvelles lois de restriction de l’intelligence.

L’acte de violence inhumain sur un innocent en situation de handicap qui en découla n’est, somme toute, qu’un corollaire des plus logiques dans le monde de persécution idéologique que ceux qui n’ont que la censure pour raison s’apprêtent à nous faire vivre.

A suivre…